Fusion d’entreprise

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1. Analyser l’organisation
2. Identifier les collaborateurs
3. Faciliter l’adaptation
4. Rapprochement préalable
5. Motivation d’un projet commun

 

Les étapes d’une fusion d’entreprises constituent évidemment un type de progression qui devra être ajusté suivant les particularités du projet en cours. Notre guide de la fusion d’entreprise prend en compte ce point en identifiant des éléments de succès et de risques à chaque étape décisive.

Ainsi, une première étape préalable consiste à déterminer les motivations ainsi que les premières modalités d’un éventuel rapprochement entre des entreprises. L’enjeu final est de parvenir à définir un projet stratégique servant de base à un rapprochement entre deux entreprises.Découvrez tous les points clés d’une fusion d’entreprise réussie au travers de notre guide dédié à ce processus.

1. Analyser l’organisation

Il n’est pas rare de nos jours de voir des entreprises qui décident de fusionner pour différentes raisons. Les entreprises fusionnées donnent naissance à une nouvelle société. L’une des principales vocations de cette union est l’envie de se développer encore plus. Le succès de la nouvelle entreprise repose essentiellement sur la qualité d’organisation de l’entreprise. Il est primordial à cet effet que les dirigeants s’attellent à l’analyse organisationnelle de la nouvelle enseigne.

Une bonne organisation entreprise influence la performance

Une bonne organisation de l’entreprise nouvellement fusionnée passe par la définition et l’affectation des missions à chaque organe de l’établissement. Cette initiative permet un fonctionnement plus fluide aussi bien pour l’organe décideur que pour les exécutants.

  • Pour la direction, la détermination des missions engendre divers avantages. Cela permet de répartir les missions de manière plus pratique. Par la même occasion, cela permet également un suivi et un contrôle plus efficaces de la réalisation des tâches.
  • Pour les collaborateurs, l’initiative offre encore plus d’avantages. Tout d’abord, ils savent à l’avance et de manière précise les missions et les résultats que la direction attend de chacun d’eux. Par la suite, ils peuvent accroître leur productivité et enrichir leur savoir-faire. La répartition des missions leur fait gagner du temps dans la réalisation de leur tâche.

Une parfaite organisation de l’entreprise facilite le travail des dirigeants et rend les salariés encore plus performants. En même temps, elle éclaire la direction sur les formations qui doivent être dispensées et les nouveaux postes qui doivent être mis en place.

Les outils d’aide à l’organisation d’entreprise

Pour une bonne organisation d’entreprise, après une fusion, vous avez à votre disposition plusieurs supports. Ces derniers ont déjà fait leurs preuves au cours de nombreuses années et auprès d’innombrables entreprises.

1.     La fiche de poste, l’inévitable pour une organisation d’entreprise

Outre la description du poste, la fiche de poste sert également à mettre en avant les compétences, l’expérience et l’aptitude professionnelle de l’attribut. Ce support est un outil incontournable pour une bonne organisation entreprise. Au cœur de l’établissement, la fiche de poste a pour finalité de décrire les objectifs à atteindre et les missions à réaliser.

À noter qu’une fiche de poste n’est pas utile pour les nouveaux associés. Pourtant, une bonne cohérence entre ces derniers est obligatoire pour une parfaite organisation. Par conséquent, il est impératif que chacun des associés sache les missions qui lui incombent. Chacun doit être en mesure de réaliser ce que les autres attendent de lui.

2.     Le tableau de suivi des compétences

Un autre support nécessaire dans une organisation d’entreprise est le tableau de suivi des compétences. Il permet de surveiller et contrôler de manière individuelle et collective les améliorations de chacun. Il s’agit d’un outil essentiel pour faciliter la planification du remplacement de ceux qui sont absents. Il permet aussi d’identifier les points forts et les aspects négatifs de chaque branche. Il est également nécessaire pour déterminer les formations à donner aux salariés.

En dernier lieu, le tableau de suivi permet à la direction de savoir s’il y a un besoin d’embaucher de nouveaux employés, qui peuvent être indispensables pour étoffer l’équipe.

3.     L’organigramme

Si l’organigramme est surtout comme une manière de distinguer les différents services de l’établissement, cet outil peut être encore plus utile. En effet, il met en avant la disposition organisationnelle de l’entreprise. Par la suite, l’organigramme met en évidence les postes-clés ainsi que les employés indispensables à la bonne organisation de la société.

4.     Le management

Le management est un outil indissociable à l’organisation. Le fait de savoir manager les différentes entités de l’entreprise est un gage de productivité et de motivation au sein de cette dernière. Pour cela, il faut faire preuve d’un grand sens de leadership, d’être favorable aux échanges et savoir communiquer. Chaque dirigeant et chef d’équipe doit avoir ces qualités pour permettre à l’entreprise de se développer et avancer vers un meilleur avenir.

Pour conclure, l’organisation entreprise a pour objectif de définir le rôle et les compétences de chacun. Elle peut être améliorée ou réorganisée quand la situation l’exige. C’est souvent le cas lors d’une fusion d’entreprises.

2. Identifier les collaborateurs

Le développement économique de toute entreprise quelle que soit son activité, va de pair avec la performance de ses employés. Ainsi, pour prospérer, une entreprise doit être en mesure d’identifier la potentialité de ses collaborateurs. Il s’agit d’un facteur essentiel dans la croissance et l’évolution de l’entreprise. Cette identification est également indispensable suite à une opération de fusion d’entreprises. Ainsi, les profils des salariés doivent être déterminés au sein de la nouvelle entreprise.

Le collaborateur peut être un suiveur !

Il est certain que dans chaque établissement, il y a toujours un collaborateur avec ce caractère. Vous pouvez le reconnaître par son comportement. Il est généralement peu motivé et ses compétences sont souvent limitées. Ce genre d’employés a tendance à exécuter les ordres sans se poser de questions. Ils ont un mode de vie très routinier et ne font aucun effort pour sortir de leur zone de confort. La ténacité ne fait pas partie de leur vocabulaire ni le sens de leadership.

Dans la réalisation des tâches, un suiveur ne propose jamais des idées d’amélioration, mais se contente des avis et ordres d’un collaborateur. Il a tendance à ne pas vouloir accroître ses compétences et se contente de ce qu’il a.

Pour ce qui est de la motivation dans le travail, un suiveur n’aime pas qu’on lui donne des responsabilités. Il se tourne automatiquement vers un supérieur lorsqu’il rencontre un obstacle. Ce genre d’employé n’est pas favorable au changement.

Les principales qualités du collaborateur fonceur

Le fonceur se distingue par une grande motivation même quand il ne dispose que de peu de compétence. Il accomplit les tâches avec ses propres moyens et son savoir-faire avant de se référer aux méthodes. Il a tendance à agir sans trop réfléchir. Il a du mal à bien s’organiser, car il pense que c’est une perte de temps. Cependant, ses différents caractères lui permettent d’avoir une grande influence sur son équipe.

Un fonceur ne se soucie guère des règles établies, mais son but principal est le résultat. Pour y parvenir, il n’hésite pas à proposer des solutions simples et n’accorde pas d’importance aux phases d’analyse. Il n’apprécie guère les relations formelles, mais préfère plutôt le verbal. Il a une grande volonté et est ouvert d’esprit. Il n’hésite pas à solliciter l’aide d’un collaborateur en cas de difficulté. C’est une personne très exigeante envers elle-même et apprécie qu’on lui soit reconnaissant pour son travail.

Le collaborateur expert

Un collaborateur expert a de grandes compétences même s’il présente parfois une faible motivation. Il aime diriger et donner des ordres à ses collègues. Un expert est direct dans ses propos et n’hésite pas à faire des remarques désobligeantes quand les choses ne sont pas réalisées selon les normes. Pour lui, chaque employé doit avoir le sens du professionnalisme. À cet effet, les félicitations ne sont pas une obligation pour lui. Un expert estime que chacun doit être évalué selon son travail.

Pour évoluer efficacement dans l’entreprise, un expert ne se limite pas à ses connaissances et n’arrête pas d’enrichir ses expériences. La confiance en soi est l’une de ses forces majeures d’où une tendance à se surestimer. Face aux changements, qui sont inévitables en cas de fusion d’entreprises, attendez-vous à ce qu’il demande les raisons de ces dispositions prises. Il n’a pas peur des critiques, du moment qu’elles soient constructives.

L’indispensable collaborateur leader

Un leader est à la fois compétent et motivé. Il est toujours favorable aux innovations qui peuvent accroître l’efficacité et mènent vers la réussite. Ce genre de collaborateur met en avance plus le succès collectif que l’individuel. Un leader est très objectif ce qui lui vaut le respect de son entourage. De plus, il communique facilement avec ses interlocuteurs et est toujours disponible pour aider un collègue en cas de besoin.

Il a le sens de l’organisation et est très professionnel. Il n’avance jamais tête baissée, mais préconise une analyse approfondie avant de prendre une décision ou exécuter une mission. Une fois que vous serez parvenu à identifier ces différents caractères chez chacun de vos collaborateurs, il vous sera plus facile d’organiser les équipes dans votre entreprise.

3. Faciliter l’adaptation

Le développement économique de toute entreprise quelle que soit son activité, va de pair avec la performance de ses employés. Ainsi, pour prospérer, une entreprise doit être en mesure d’identifier la potentialité de ses collaborateurs. Il s’agit d’un facteur essentiel dans la croissance et l’évolution de l’entreprise. Cette identification est également indispensable suite à une opération de fusion d’entreprises. Ainsi, les profils des salariés doivent être déterminés au sein de la nouvelle entreprise.

Le collaborateur peut être un suiveur !

Il est certain que dans chaque établissement, il y a toujours un collaborateur avec ce caractère. Vous pouvez le reconnaître par son comportement. Il est généralement peu motivé et ses compétences sont souvent limitées. Ce genre d’employés a tendance à exécuter les ordres sans se poser de questions. Ils ont un mode de vie très routinier et ne font aucun effort pour sortir de leur zone de confort. La ténacité ne fait pas partie de leur vocabulaire ni le sens de leadership.

Dans la réalisation des tâches, un suiveur ne propose jamais des idées d’amélioration, mais se contente des avis et ordres d’un collaborateur. Il a tendance à ne pas vouloir accroître ses compétences et se contente de ce qu’il a.

Pour ce qui est de la motivation dans le travail, un suiveur n’aime pas qu’on lui donne des responsabilités. Il se tourne automatiquement vers un supérieur lorsqu’il rencontre un obstacle. Ce genre d’employé n’est pas favorable au changement.

Les principales qualités du collaborateur fonceur

Le fonceur se distingue par une grande motivation même quand il ne dispose que de peu de compétence. Il accomplit les tâches avec ses propres moyens et son savoir-faire avant de se référer aux méthodes. Il a tendance à agir sans trop réfléchir. Il a du mal à bien s’organiser, car il pense que c’est une perte de temps. Cependant, ses différents caractères lui permettent d’avoir une grande influence sur son équipe.

Un fonceur ne se soucie guère des règles établies, mais son but principal est le résultat. Pour y parvenir, il n’hésite pas à proposer des solutions simples et n’accorde pas d’importance aux phases d’analyse. Il n’apprécie guère les relations formelles, mais préfère plutôt le verbal. Il a une grande volonté et est ouvert d’esprit. Il n’hésite pas à solliciter l’aide d’un collaborateur en cas de difficulté. C’est une personne très exigeante envers elle-même et apprécie qu’on lui soit reconnaissant pour son travail.

Le collaborateur expert

Un collaborateur expert a de grandes compétences même s’il présente parfois une faible motivation. Il aime diriger et donner des ordres à ses collègues. Un expert est direct dans ses propos et n’hésite pas à faire des remarques désobligeantes quand les choses ne sont pas réalisées selon les normes. Pour lui, chaque employé doit avoir le sens du professionnalisme. À cet effet, les félicitations ne sont pas une obligation pour lui. Un expert estime que chacun doit être évalué selon son travail.

Pour évoluer efficacement dans l’entreprise, un expert ne se limite pas à ses connaissances et n’arrête pas d’enrichir ses expériences. La confiance en soi est l’une de ses forces majeures d’où une tendance à se surestimer. Face aux changements, qui sont inévitables en cas de fusion d’entreprises, attendez-vous à ce qu’il demande les raisons de ces dispositions prises. Il n’a pas peur des critiques, du moment qu’elles soient constructives.

L’indispensable collaborateur leader

Un leader est à la fois compétent et motivé. Il est toujours favorable aux innovations qui peuvent accroître l’efficacité et mènent vers la réussite. Ce genre de collaborateur met en avance plus le succès collectif que l’individuel. Un leader est très objectif ce qui lui vaut le respect de son entourage. De plus, il communique facilement avec ses interlocuteurs et est toujours disponible pour aider un collègue en cas de besoin.

Il a le sens de l’organisation et est très professionnel. Il n’avance jamais tête baissée, mais préconise une analyse approfondie avant de prendre une décision ou exécuter une mission. Une fois que vous serez parvenu à identifier ces différents caractères chez chacun de vos collaborateurs, il vous sera plus facile d’organiser les équipes dans votre entreprise.

4. Rapprochement préalable

Plusieurs raisons peuvent inciter les dirigeants d’entreprises à opter pour une opération de rapprochement avec une autre entreprise. En général, ce genre de processus découle de facteurs extérieurs comme les avancées technologiques ou de la volonté d’avoir une plus grande part de marché. Les entreprises peuvent être également motivées par une volonté de développement économique ou technique. Quelles qu’en soient les raisons, il existe des démarches à suivre pour qu’un projet de rapprochement d’entreprises puisse réussir.

Un bon ciblage pour réussir un rapprochement d’entreprises

Tout rapprochement d’entreprises doit être précédé d’un ciblage bien défini. Cette analyse doit tenir compte de tous les aspects relatifs à l’entreprise ciblée. S’il s’agit d’entreprises ayant la même activité, on parle alors de croissance horizontale. Vous pourrez opter pour une intégration verticale si l’activité ou l’un des clients de l’autre entreprise vous intéresse.

Il est possible que votre ciblage concerne une entreprise qui n’a rien de similaire à la vôtre. On parle dans ce cas d’une cible pour une diversification. Au moment du ciblage, vous devez également vérifier la situation de l’entreprise convoitée par rapport à la concurrence. La croissance horizontale et la croissance verticale sont avantageuses lorsque vous voulez absorber un de vos concurrents. De plus, la diversification est recommandée dans le cas où votre entreprise est en quête de croissance.

Dénicher le type de rapprochement le plus adéquat

Le processus de rapprochement d’entreprise peut s’effectuer par diverses approches.

  • Accord de partenariat

Cette option se résume à une collaboration entre les entreprises dans divers secteurs. Il n’est pas indispensable que leurs relations reposent essentiellement sur le facteur financier.

  • Acquisition totale ou partielle

Pour cette approche, vous pourrez vous accaparer la totalité des actions d’une entreprise, mais il est également possible de céder une petite part d’action au propriétaire cédant. Ceci étant dans le but de l’intégrer dans le développement de l’entreprise.

  • Fusion entre deux structures

Il s’agit du résultat final d’un rapprochement entreprise. La fusion est généralement la voie privilégiée par les entreprises qui visent une implantation internationale.

S’acquitter du juste prix

Le côté financier est l’une des raisons qui fait qu’une opération de rapprochement soit possible ou non. Souvent, le cédant a tendance à proposer une surestimation du bien en question, car il se soucie de la rentabilité de l’opération. Ce qui peut constituer un blocage pour l’acquéreur et peut éventuellement le pousser à chercher d’autres alternatives.

À cet effet, déterminer le juste prix est un élément important pour la conclusion d’un accord. Il est conseillé que le coût présenté comporte la valeur passée et actuelle de l’entreprise cédée. Il faut également y incorporer divers ajustements afin de déterminer la juste valeur (retraitements comptables, charges,…).

Dynamisez et motivez les équipes

Il est inévitable qu’un rapprochement entraîne des conséquences importantes sur la vie des entreprises. Souvent, il est nécessaire de supprimer des postes et d’en créer d’autres. Cela peut concerner aussi bien l’administration que la production. Par la suite, l’opération entraîne un climat peu favorable au sein de l’entreprise absorbée. Fréquemment, les dirigeants oublient de mettre en place des programmes de préparation et de gestion du processus de rapprochement.

Pour qu’un regroupement d’entreprises puisse se passer de façon fluide, il faut tenir compte des facteurs culturels et managériaux de l’établissement cible. Vous devez comprendre que chaque entreprise a ses habitudes, ses coutumes et son organigramme. Une telle opération a des répercussions sur différents facteurs. Le rapprochement entreprise impacte inévitablement l’organisation et le fonctionnement de l’entreprise. De plus, il peut y avoir des répercussions sur les salaires et les heures de travail entre autres.

Il est important à cet effet de dynamiser et motiver l’équipe en place afin que le processus de rapprochement d’entreprise puisse se dérouler sans difficulté. La mise en place d’une cellule avec pour mission de gérer l’intégration est capitale. Pour conclure, un rapprochement est un processus complexe. Pour le mener à bien, il est conseillé de se faire accompagner par de véritables experts en la matière.

5. Motivation d’un projet commun

De manière générale, tout projet de fusion est une opération délicate qui implique deux ou plusieurs entreprises. Parmi les nombreuses motivations qui peuvent être derrière une telle opération entre les entreprises, il convient de souligner que la réalisation d’un projet commun est l’un des objectifs les plus évidents.

Pourquoi mettre en œuvre un projet commun ?

  • Perspective de développement

La recherche d’opportunités de développement est l’un des facteurs qui incitent les entreprises à fusionner en mettant en place un projet commun. Toutefois, il faut comprendre que cette fusion est souvent réalisée indépendamment de la volonté de l’une des deux parties, qui peut éventuellement faire face à des soucis financiers l’obligeant à recourir à cette solution. Mais bien que ce soit le cas, leur volonté est de développer et pérenniser leur activité.

Les préoccupations financières sont généralement abordées au cours des négociations pour une fusion, même si les protagonistes souhaitent œuvrer pour un même projet. De nombreux établissements se tournent vers cette solution, notamment lorsqu’ils constatent une baisse ou une stagnation de leur croissance. Le rachat est normalement réalisé par une enseigne ayant une bonne situation financière. L’opération est avantageuse pour les deux parties et l’acquéreur sera en mesure d’accroître son capital.

  • Quête de synergies

Les entreprises qui optent pour une fusion dans le but d’élaborer un projet commun, considèrent cette solution comme une alternative financière et économique pour leur quête de synergie. Les deux parties seront interdépendantes, car l’opération peut les rendre plus performantes et accroître leurs activités. Grâce à la variété des produits ou services proposés, l’établissement qui naît de la fusion bénéficiera d’une base de consommateurs plus large et profitera de la réputation des deux entreprises.

  • Faire face à la concurrence

Face à la conjoncture économique actuelle, la concurrence est de plus en pesante. Par conséquent, de nombreuses entreprises sont favorables à la mise en place d’un projet commun pour survivre sur le marché. En choisissant de passer par une fusion des activités, les entreprises peuvent conquérir une plus grande part de marché et être en mesure de mieux gérer la concurrence..

Une telle opération a pour avantage de réduire également les coûts et les dépenses.

Les risques de la mise en place d’un projet commun

Bien que la mise en œuvre d’un projet commun puisse mettre en valeur les deux entreprises, ce n’est pas sans risque. L’opération n’est pas vue d’un bon œil pour la majorité des collaborateurs. Même si le projet mis en place dispose de toutes les chances de produire de bons résultats, les salariés ne sont pas toujours préparés à collaborer avec une nouvelle équipe. Cela s’explique naturellement par le souci de perdre certains des avantages auxquels ils avaient droit avant la fusion.

Dans ce contexte, il est important de préparer préalablement les salariés avant la fusion. Il s’agit d’une étape cruciale pour que l’opération soit un succès. Les services des Ressources Humaines ont un grand rôle dans cette démarche. Outre le projet commun, il faut savoir que l’entreprise absorbée sera au second plan puisque l’acheteur va certainement imposer son organisation. Ce genre de situation se présente souvent dans une fusion absorption. À cet effet, il faut bien définir les règles du jeu durant les négociations.

En effet, une fusion implique un changement d’image qui sera généralement difficile à adopter pour les parties prenantes. Pour ce qui est des consommateurs, ces derniers peuvent éprouver un sentiment d’incompréhension. La meilleure solution, lors d’une mise en place de projet commun, est de ne pas faire des économies sur la communication. Il faut établir le plus rapidement une forte campagne de marketing. Une grande sensibilisation du public doit être effectuée avant, durant et après la fusion.

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